Tu me manques D., si seulement tu pouvais ne serais-ce qu'une seconde imaginer à quel point. Te voir me manque, t'entendre, te sentir, chaque seconde de chaque jour qui passe. Tu sais ce qui me fait le plus mal dans tout ça? C'est qu'au final, je n'ai jamais réellement su ce que tu ressentais pour moi. Tu t'es toujours efforcé de mettre cette barrière entre nous et même si je savais qu'il en fallait une, j'aurai tellement aimé que nous puissions l'abattre, ensemble et qu'enfin tu te livres à moi, parce que je vais te dire, parfois le silence nous brise beaucoup plus que les mots. Et ces mots que tu n'as jamais su me dire, c'était tout ce que j'attendais de toi, et seulement ça. Je suis partie D., et c'est certainement le chose la plus difficile que j'ai du faire, parce que ça impliquait te perdre toi, de voir nos souvenirs s'éloigner, s'assombrir, pour finalement s'effacer. Mais je fais avec tous les jours, et j'essaie d'avancer, et ça, même après dix longs mois sans toi, je rame toujours. Ça faisait tellement longtemps que je n'avais pas eu de tes nouvelles, que je n'avais plus entendu ta voix, alors j'ai finalement comprit que je ne comptais pas autant pour toi, que toi pour moi, j'ai donc décidé de laisser tomber, d'arrêter de me battre contre toi, mais ça ne m'a jamais empêché de penser à toi tous les jours tu sais, et ça, même si je n'ai plus ma place dans ta vie. Mais tu ne peux plus réapparaitre comme ça dans la mienne, tu ne peux plus faire comme si on avait jamais vécu une histoire forte ensemble, comme si on avait jamais rien ressentit l'un pour l'autre, tu peux plus! Et je n'arrive pas à croire que cela va faire bientôt un an que tu ne fais plus partit de ma vie, j'ai l'impression que sans toi, le temps s'est figé et que je suis condamnée à errer dans une vie, dont plus jamais tu ne feras partit. Je t'aime, je t'ai aimé dès que j'ai croisé ton regard, dès que tu as posé les yeux sur moi et que tu m'as désiré. Avec et contre toi, je me suis toujours sentie "aimée", voulue en quelque sorte, mais le plus important, c'est qu'avec toi, j'avais enfin la sensation d'être complète, entière. Et aujourd'hui ça me manque tellement. Tu sais, tous ces mots tu ne les liras certainement jamais, mais j'ai toujours eu ce besoin d'exprimer ce que je ressentais pour toi, et ça, tu ne l'as jamais compris. J'aurai juste aimé que tu puisses ressentir quelque chose, que ça te touche et te fasse réagir, mais non. Je me suis, et je continuerai à me prendre des murs en pleine face avec toi, quoique je puisse te dire, mais ne t'en fais pas, j'y suis habituée. Je crois bien en avoir trop dit, je suis désolée pour absolument tout D., j'aurai aimé être plus forte et ne pas ressentir tout ce que je ressens pour toi depuis plus de deux ans maintenant. Mais pour finir, je te dirai seulement ; où que j'aille, qu'importe le temps, le nombre de kilomètres nous séparant, l'âge, nos situations, tu resteras à jamais en moi D., tu feras toujours partit de ma vie, et ça, quoiqu'il puisse nous arriver, même quand les souvenirs s'effaceront, je me souviendrais toujours de toi, à chaque instant, parce que je t'aurai aimé, comme plus jamais je n'aimerai un homme. Adieu D.
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C'était notre trois quart de lune mon coeur. Notre soirée, notre moment. Tu m'avais tellement manqué, tellement. Je ne sais même pas pourquoi je continue de m'accrocher à toi et à ces instants, mais j'en ai besoin, j'ai besoin d'y croire. Croire qu'on pourrait exister, tous les deux, ensemble si on s'en donnait la peine. Je te voudrais près de moi constamment, que tu me serres dans tes bras pour me protéger du monde, je voudrais que tu m'aimes comme je peux t'aimer, que tu aies besoin de moi, autant que j'ai besoin de toi. Si seulement tu savais ce que tu rates, si seulement tu pouvais l'imaginer, parce qu'il n'y aura jamais personne qui ne pourra t'aimer, t'adorer, t'admirer autant que je le fais moi, et ça tous les jours. Je voudrais tellement que tu ouvres les yeux et que tu voies enfin tout ce que j'ai à t'offrir, parce que je te promet que tu ne le regrettera pas.
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Tu manques à ma vie, à mon quotidien monotone, à mes journées fades, à mon coeur meurtri. J'aimerai tellement que tu sois encore là, près de moi, que je puisse encore sentir la chaleur de ton corps contre le mien, l'odeur enivrante de ton parfum, le goût sucré de tes lèvres, la mélodie de ton rire, tes doigts entrelacés aux miens, le doux dessin de ton sourire, mes yeux dans tes yeux, mais non. Tu n'es plus là, nous ne sommes plus qu'un souvenir et pourtant j'ai tout fait, tout donné pour qu'il en soit autrement, faut croire que c'était notre destin.
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On s'est construit et j'ai tout détruit, on s'est détruit, on a reconstruit, on s'est construit, on a tout détruit, je me suis détruit, on a tout détruit, on s'est puni.
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Loin de toi . Dieu que tu me manque, que ton visage me manque, ta voix, ton odeur, ton rire, tes lèvres, tes mains, ton sourire me manque.
Quand je ferme les yeux j'essaie de me rappeler chaque détails, chacun de tes traits, mais ça s'effrite, tout part en miettes, en petits morceaux en lambeaux. Rappelle toi, je t'en supplie, rappelle toi de nous et ne nous oublie jamais
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